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#Doctolib : #Pérenniser l’usage de la #Téléconsultation après l’#Epidémie

#Doctolib : encore 30 fois plus de consultations vidéo qu’avant l’épidémie, comment pérenniser cette pratique ?.

 

L’usage de la consultation vidéo a explosé pendant l’épidémie de Covid-19 : 4,6 millions de rendez-vous ont été pris en consultation vidéo sur Doctolib depuis début mars, contre seulement 200 000 avant l’épidémie.

Cette pratique, qui reste très forte malgré le déconfinement, s’est révélée particulièrement utile pour les professionnels de santé comme pour les patients.

Doctolib propose plusieurs évolutions pour continuer de démocratiser cette pratique en tirant les leçons de l’épidémie tout en respectant les principes fondamentaux de notre système de santé.

La consultation vidéo s’est révélée particulièrement utile pendant l’épidémie : elle a permis aux professionnels de santé de continuer de suivre leurs patients tout en limitant le risque de contamination.

L’usage du service de consultation vidéo de Doctolib a logiquement explosé pendant l’épidémie :

– 4,6 millions de consultations vidéo ont été réalisées.
– 1,41 million de patients ont effectué au moins une consultation vidéo.
– 32 500 professionnels de santé ont adopté la consultation vidéo.

Ce décollage dépasse Doctolib : au niveau national, nous sommes passés de 15 000 consultations vidéo par semaine avant l’épidémie à plus de 1 million au coeur de l’épidémie.

Encore 30 fois plus de consultations vidéo qu’avant la crise, malgré le déconfinement.

Malgré le déconfinement, l’usage de la consultation vidéo reste encore très fort : Doctolib enregistrait ainsi 41 000 consultations vidéos par jour en mai contre 1 500 avant l’épidémie (soit 30 fois plus). 110 000 consultations vidéos ont été par ailleurs réalisées au cours des seuls 3 premiers jours de juin.

Avec Doctolib, l'Espace Santé Polyvalent de la SOMUCO passe à la prise de  rendez-vous en ligne

La persistance de ces usages prouve l’intérêt de la consultation vidéo pour les professionnels de santé et les patients. Interrogés sur les avantages de la consultation vidéo , les praticiens indiquent qu’elle leur permet, par ordre d’importance :

– d’être payés pour l’ensemble de leur travail, les praticiens réalisant beaucoup de tâches non rémunérées pour leurs patients – conseil par téléphone, échanges par email, etc. (57%) ;
– d’améliorer leur confort de travail au quotidien en pouvant notamment exercer depuis chez eux sur certaines plages horaires (45%) ;
– de suivre plus fréquemment et plus simplement leurs patients, améliorant ainsi la prévention et le suivi dans leur activité (36%).

Source : chiffres de la Caisse nationale d’assurance maladie (comparaison début mars à mi-avril).

Source : sondage réalisé le 21 avril auprès de 1000 praticiens utilisateurs de la Consultation vidéo Doctolib.

De leur côté, les patients interrogés affirment que l’usage de la consultation vidéo leur permet​, par 3 ordre d’importance :

– d’éviter de se déplacer (38,5%) ​;
– de consulter leur praticien d’où ils veulent (22%)​ ;
– d’obtenir un rendez-vous plus rapidement (20%)​.

Pour Stanislas Niox-Chateau, cofondateur et président de Doctolib, “la consultation vidéo est une pratique médicale à forte valeur ajoutée pour les professionnels de santé et pour les patients. La crise a mis en lumière l’utilité de la consultation vidéo pour garantir un accès aux soins rapide et simple et fournir du
confort de travail aux praticiens.

Les professionnels de santé peuvent suivre plus fréquemment et plus simplement leurs patients, et être rémunérés pour l’ensemble de leur travail. Il faut désormais maintenir un fort niveau d’usage tout en préservant les grands principes de notre système de santé.”

Comment pérenniser l’usage de la consultation vidéo après l’épidémie ?

Malgré ce décollage et la persistance d’un fort niveau d’usage, l’avenir de la consultation vidéo n’est pas acquis. Après avoir échangé avec les professionnels de santé et les patients utilisateurs de sa solution, les représentants des professionnels de santé libéraux et les pouvoirs publics, Doctolib recommande de prendre 5 mesures pour pérenniser l’usage de la consultation vidéo après l’épidémie :

1. Permettre aux professions autorisées à réaliser des consultations vidéo remboursées pendant l’épidémie de continuer après l’épidémie, en particulier les infirmières, les sages-femmes, les masseurs-kinésithérapeuthes et les orthophonistes.

2. Créer une aide financière plus incitative pour encourager les professionnels de santé à utiliser la consultation vidéo.

3. Encourager l’usage des solutions sécurisées de consultation vidéo et mettre un terme au remboursement des actes réalisés via des solutions non médicales de consultation vidéo ou partéléphone, décidé à titre exceptionnel pendant l’épidémie.

4. Faciliter l’accès des patients à la consultation vidéo auprès de leur médecin généraliste et spécialiste, tout en préservant le rôle du médecin traitant et le parcours de soins coordonnés.

5. Produire des indications de bonnes pratiques à destination des professionnels de santé et des patients pour les guider dans l’adoption de ce nouvel usage.

A propos de Doctolib Créé en 2013, Doctolib est le leader de la e-santé en Europe. Doctolib propose aux praticiens un logiciel et des services pour améliorer l’efficacité de leur organisation, transformer l’expérience de leurs patients, faire connaître leurs activités et renforcer la coopération avec leurs confrères.

Doctolib aide les patients à accéder plus facilement et rapidement aux soins, en leur permettant de trouver des informations sur leurs professionnels de santé, de prendre rendez-vous avec eux sur Internet 24h/24 et 7j/7, de réaliser des téléconsultations et d’accéder à leur historique de consultations en ligne.

La société emploie aujourd’hui 1 400 salariés, répartis dans 40 villes en France et en Allemagne. Elle collabore avec 125 000 professionnels et 3 000 établissements de santé. Doctolib enregistre chaque mois plus de 50 millions de visites de patients.

Contact presse presse@doctolib.com 06 18 71 62 52.

Source : sondage réalisé les 21 et 22 avril auprès de 1225 patients ayant déjà utilisateurs de la consultation vidéo Doctolib.