Coup de gueule : #CoVid19 #coronavirus #municipales, la démocratie en #stade3 ?
Les municipales sous #Covid19 en l’absence de confinement !
Les élections municipales sont finalement maintenues. « J’ai interrogé nos scientifiques. (…) Ils considèrent que rien ne s’oppose à ce que les Français, même les plus vulnérables, se rendent aux urnes », annonçait Emmanuel Macron jeudi 12 mars au soir, lors de son allocution télévisée.
Pourtant dans le courant de l’après-midi de vendredi 13, Emmanuel Macron change progressivement d’avis, sous l’influence, nous dit-on, des scientifiques qu’il consultait (le CS CoVid19)
L’explication est aussi politique. Difficile, en effet, aux yeux du président, comme l’explique Les Échos, d’annoncer d’un côté la fermeture des écoles et le quasi-confinement des personnes de plus de 70 ans, et de l’autre côté de maintenir ce rendez-vous qui n’est, de toute évidence, pas sans risque sanitaire.
C’est à ce moment-là qu’Emmanuel Macron s’est mis à réfléchir à la façon de mettre en oeuvre cet éventuel report sur le plan constitutionnel. Des mesures radicales figuraient également parmi les « options » à l’étude, comme l’annonce de l’état d’urgence, voire l’engagement de l’article 16 de la Constitution, qui prévoit l’attribution, en cas de force majeure, de « pouvoirs exceptionnels » au chef de l’Etat, après qu’il a consulté le Premier ministre, les présidents des deux assemblées et le Conseil constitutionnel.
Il a notamment été question de recourir au fameux article 16 de la Constitution. Un article qui, dans des circonstances particulières, confère des pouvoirs exceptionnels au chef de l’État.
Dans les bureaux de vote PAS DE MASQUES pour les assesseurs !!! Du gel des gants et des stylos !!! Ceci est très inquiétant !!! Seuls quelques votants étaient masqués.
Passage au stade 3, AINS et toujours pas de confinement !
Finalement, le jeudi 12 Emmanuel Macron n’annonça que deux mesures concrètes dans son allocution de jeudi : la fermeture des écoles et un soutien vigoureux à l’économie.
Une phrase peu commentée pose question. Le chef de l’État a indiqué que l’évolution du coronavirus se ferait en deux phases : dans la première, celle dans laquelle nous venons d’entrer, la grande majorité des victimes seraient des personnes âgées et fragiles, notamment atteintes de co-morbidités : cancer, diabète, obésité.
Dans la seconde phase, tout le monde serait concerné. Emmanuel Macron a parlé « d’une possible deuxième vague qui touchera un peu plus tard, en nombre beaucoup plus réduit, des personnes plus jeunes, a priori moins exposées à la maladie, mais qu’il faudra soigner également. »
Maintenant que nous sommes enfin passé aux stade 3 depuis samedi soir (mieux vaut tard que jamais !) que veut dire cette phrase dans ce contexte ? S’agit il des cas aggravés par la prise d’AINS ? S’agit il d’une typologie différente d’infection ?
Ce que l’on nous a (pas) dit sur les #masques
« Le masque chirurgical ne sert qu’a protéger les autres, si vous êtes atteint. » « le masque chirurgical ne protège pas du virus. »
« Les masques FFP2 sont pour les soignants. » Sauf… qu’il n’y en a pas ! Avec une peu de chance un Praticien peut récupérer un lots de 50 masques chirurgicaux dans une pharmacie pour se protéger. En pratique il donne ces masque à ses patients, en 3 jours il n’en a plus.
La doctrine a changé désormais : Le Pr Jérôme Salomon le martèle depuis plusieurs jours : « il a été scientifiquement confirmé que s’agissant du coronavirus COVID-19, les masques dit chirurgicaux ont une efficacité équivalente à celle des masques spécialisés ».
Alors qu’il est désormais acquis que les équipements de protection de type FFP2 seront réservés à certains soignants hospitaliers (mais toujours en rupture de stock en Pharmacie pour les soignants), le directeur général de la santé tente de rassurer ceux qui devront se contenter de masques chirurgicaux (le stock « état » dans les Pharmacies) comme les soignants de ville exposés en première ligne.
On sait aussi qu’Agnes BUZYN envoyait fin décembre 2019 17 tonnes de matériel de protection CoVid19 en chine et en iran à titre compulsionnel compassionnel persuadée que le virus s’arrêterait à la frontière, en lisant les affichettes…
Dans une vidéo largement diffusée sur les réseaux sociaux, l’ancienne ministre de la Santé, Agnès Buzyn, assurait le 24 janvier que le risque de contamination par le coronavirus en France était «pratiquement nul».
«Le risque d’importation depuis Wuhan est modéré. Il est maintenant pratiquement nul, puisque la ville est isolée. Les risques de cas secondaires autour d’un cas importé sont très faibles et les risques de propagation du virus dans la population sont très faibles», avait-elle assuré le 24 janvier lors d’un point presse au ministère de la Santé.
Aujourd’hui ce matériel manque cruellement aux soignants et aux patients !