#Innovation et #Déploiement : Elsan, n°2 français de l’hospitalisation privée
Après la fusion de Vedici et de Vitalia, un nouveau nom, une nouvelle signature et une nouvelle stratégie.
« ELSAN n’est pas seulement la conséquence de la fusion entre Vedici et Vitalia : il symbolise une stratégie novatrice et de long terme dans le secteur de la santé. Grâce à toutes nos équipes, et à l’engagement et à la qualité de nos médecins libéraux, ELSAN est porteur d’une ambition élargie, du soin à la santé.
Cette évolution de l’offre de soins qui sera proposée aux 1 200 000 patients accueillis chaque année dans nos établissements constitue une véritable révolution dans leur accompagnement : à travers le bouleversement des usages et le suivi digital, nos patients deviendront les acteurs de leur santé et auront accès à des services nouveaux et complémentaires.
Cette nouvelle offre bénéficiera d’investissements importants, indispensables à la pratique d’une médecine moderne et préventive qui accompagne les patients dans la durée. Demain, les cliniques ne seront plus seulement jugées au nombre d’actes mais sur l’excellence des actes réalisés et l’état de santé pérenne des patients après leur intervention. C’est un progrès considérable pour les patients, et un immense défi pour notre groupe », déclare Jérôme Nouzarède, Président, co-fondateur et actionnaire de référence avec le Docteur Michel Bodkier.
Présent dans l’ensemble des métiers de l’hospitalisation (Médecine, Chirurgie, Obstétrique, Cancérologie, SSR, HAD, psychiatrie), le groupe ELSAN regroupe 14 000 collaborateurs et 80 établissements implantés dans toutes les régions métropolitaines. Il s’appuie sur l’expertise de ses 3 200 médecins libéraux. ELSAN participe pleinement aux missions de service public : 310 000 passages aux urgences et 33 000 naissances (5% des naissances en France) par an.
Le nouveau nom, ‘ELSAN’, doit être considéré comme un label, gage de qualité, d’innovation et d’engagement auprès des patients. Il figurera dans chaque clinique, aux côtés du nom de chaque établissement, conjuguant ainsi identité collective et notoriété locale.
Les patients sont en attente d’une offre de santé moderne, personnalisée, connectée et préventive, qui va les amener à être les véritables acteurs de leur santé. La satisfaction de l’ensemble des patients est donc la priorité d’ELSAN. À travers des parcours de soins personnalisés et un accompagnement des patients au-delà des murs de chaque établissement, le groupe entend dépasser le rôle d’opérateur de soins pour devenir un partenaire de santé.
Il poursuivra des partenariats avec des acteurs privés et publics de santé et s’engagera dans de nouvelles formes de coopération pour assurer aux patients une juste utilisation des ressources du système de santé.
Pour faire bénéficier tous ses établissements de solutions technologiques, digitales et organisationnelles innovantes, le groupe a mis en place des équipes dédiées en termes de développement médical, de marketing et d’innovation.
Soucieux de soutenir son ambition d’excellence et d’innovation au service de ses patients, ELSAN va consacrer au cours des trois prochaines années un effort d’investissement sans précédent : 250 millions d’euros, dont 100 millions d’euros pour la modernisation, l’innovation et la digitalisation de son offre de santé.
Profondément attaché à la médecine libérale, le groupe accompagne les médecins dans le développement de leurs projets, favorisant leur accomplissement professionnel, depuis l’accueil et la formation d’internes, jusqu’à la création d’instituts dans lesquels se conjugueront qualité du soin, recherche clinique et enseignement.
Cette perspective de long terme s’inscrit dans un projet structurant qui tient compte de la Responsabilité Sociale et Sociétale de l’Entreprise (RSE) incluant des actions en matière de respect de l’environnement, de progrès social, d’engagement sociétal et de performance économique.
« ELSAN porte un formidable projet, fruit d’une vision qui est la nôtre depuis longtemps et que nous sommes désormais en mesure de mettre en œuvre », conclut Jérôme Nouzarède.