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le piège étendu par le covid confinement

Le #piège tendu par le #Covid-19

Le Covid-19 est un virus qui appartient à la famille bien connue des coronavirus « comptant un grand nombre de virus qui peuvent provoquer des maladies très diverses chez l’homme, allant du rhume banal au SRAS » nous dit l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Ces derniers provoquent notamment rhumes ou grippes.

Pour autant, le Covid-19 possède bien des zones d’ombre. Au fur et à mesure que le temps passe, certaines certitudes s’effondrent et laissent place à des questionnements sur le « mode opératoire » du virus, les traitements possibles et l’utilité du confinement qui apparaît désormais comme un véritable piège, dans lequel nous sommes tombés.

Un taux de mortalité plus faible que ce qui avait été annoncé par l’OMS

La première des certitudes qui tombe est celle du taux de mortalité induit par ce virus. Déjà, il était possible à tous les observateurs de constater que des différences de taux de mortalité existaient entre pays. Ces différences pouvaient toutefois s’expliquer par les systèmes de santé en place et les politique mise en œuvre pour lutter contre la pandémie. Sur ce point, la situation allemande est exemplaire. Au 13 avril 2020, le taux de mortalité en Allemagne est de 2,45% (3 194 décès pour 130 072 cas de coronavirus déclarés) contre 10,94% en France (14 967 décès pour 136 779 cas de coronavirus déclarés).

Toutefois, même en Allemagne, la réflexion sur le réel taux de mortalité du virus est en cours et une étude récente semble montrer que ce taux est très inférieur à ce qui a été dit par l’OMS, il serait près de 5 à 20 fois inférieur au taux indiqué par cette organisation.

Les études sont accessibles ici : étude allemande, étude danoise, étude américaine, étude autrichienne, étude publiée dans Journal of Medical Virology.

Si des études semblent montrer que les informations données par l’OMS ne sont pas totalement fiables, il est constant que le débat sur le taux de mortalité du Covid-19 est loin d’être tranché avec des études qui évaluent un écart avec les taux donnés par l’OMS sur une plage de 5 à 20.

Toutefois, ces taux de mortalité et le nombre actuel de décès du au Covid-19 rapprochent la pandémie actuelle avec les effets d’une mauvaise et virulente grippe saisonnière.

Un « mode opératoire » du SARS-Cov-2 qui ne conduit pas à une pneumonie

A l’heure actuelle, les patients gravement atteints par le Covid-19 et placés sous assistance respiratoire sont diagnostiqués comme faisant l’objet d’une détresse respiratoire se singularisant par une pneumonie parfois fatale. Or le mécanisme d’action du covid-19 serait en fait une altération des globules rouges et non une attaque des poumons. Ce mécanisme d’action a été mis en évidence par les Pr Wenzhong Liu et Hualan Li. Ainsi les poumons des personnes atteintes du virus fonctionneraient normalement. Par contre, la capacité des globules rouges à transporter l’oxygène serait affectée par un blocage du métabolisme de l’Hème (captation de l’oxygène). Ce mode opératoire du Covid-19 expliquerait donc l’efficacité de la Chloroquine contre le virus. Si cette analyse était confirmée, l’usage des respirateurs artificiels s’avérerait inutile. Il conviendrait alors d’effectuer une purification sanguine. La Food and Drug Administration (FDA) des Etats-unis vient d’autoriser le traitement par recours aux appareils de purification sanguine.

Pour autant, le Covid-19 semble aussi être un virus qui mute rapidement. Quatre souches différentes auraient été repérées en France. Dès lors, on peut s’interroger sur la constante de son mode opératoire.

A l’heure actuelle, si l’hydroxychloroquine associée à un antibiotique se révèle efficace dans la lutte contre le Covid-19 selon différentes études dont celle du professeur Raoult, des médecins et des laboratoires travaillent sur le repositionnement de médicaments. L’objet de ces essais est de « rechercher une activité antivirale à partir de produits déjà commercialisés pour une autre indication thérapeutique, dont la toxicité chez l’humain a déjà été évaluée ». Des médecins ont obtenu des résultats encourageants en utilisant des macrolides seuls ou en association avec d’autres molécules. Dans ce cas, l’utilisation de cet antibiotique n’est évidemment pas incompatible avec un mode opératoire du virus provoquant une altération du fonctionnement des globules rouges. Cet antibiotique agira contre le virus en stoppant son action destructrice tandis que la purification sanguine restaurera le rôle des globules rouges.

Ces différents rappels effectués, on ne peut que constater que le confinement n’est pas la réponse idéale face à un virus dont le taux de mortalité est faible et dont le mode opératoire semble pouvoir être combattu avec des médicaments génériques.

Le confinement, véritable piège pour l’avenir

Ce confinement décidé en France faute d’avoir une autre stratégie de lutte à proposer (tests systématiques et masques pour tout le monde) et mis en œuvre dans de nombreux autres pays ne serait-il pas un piège dans lequel seraient tombés certains Etats. Si l’utilité du confinement est très discutable et est très discutée en ce qui concerne la santé, il est un point sur lequel tout le monde est d’accord : c’est une catastrophe économique. De nombreux artisans, des PME et même des grandes entreprises subissent de plein fouet la disparition par confinement dans le monde de plus d’un milliard d’êtres humains consommateurs.

Si les modalités d’apparition du Covid-19 sont chargées de mystères, il n’y a pas assez de preuves pour accuser qui que ce soit d’être à l’origine de cette pandémie. Cette dernière est peut-être même tout simplement le résultat de notre mode de développement. Dans tous les cas, le confinement apparait bien un piège dans lequel notre pays a beaucoup à perdre, y compris humainement.

Il serait donc temps de permettre à tous les scientifiques de mener à terme leurs études et leurs essais cliniques et de redonner aux médecins leur liberté de prescription. Ce virus a des modes opératoires encore non totalement connus et peut être variables mais une chose est certaine: si le pays se suicide économiquement, nous aurons à faire face à des problèmes humains et économiques d’une plus grande gravité que celle de ce virus.

Régis DESMARAIS