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#Apnée du #Sommeil au temps du #Cinéma #Muet : le #Spectacle #Silencieux 💤

Imaginez un vieux film muet : des acteurs qui gesticulent, des gros plans sur le visage, des pauses dramatiques, et… pas un mot, pas un bruit. Juste du silence. Maintenant, transposez ça dans votre propre vie, la nuit, lorsque votre corps décide de faire une scène de cinéma… mais cette fois, en version « mortellement ennuyeux » et surtout, sans la bande sonore de votre conscience qui crie : « Respire, abruti ! »

Bienvenue dans votre propre film muet d’apnée, une comédie noire, totalement grinçante, où vous êtes à la fois le héros et le technicien de plateau qui refuse de changer de scène.

La grande farce : un film qui n’a ni son ni sens

L’apnée du sommeil, c’est comme regarder un film muet avec des acteurs qui ont oublié comment parler… sauf que là, c’est vous. Vous faites semblant de dormir, mais en réalité, vous jouez la tragédie silencieuse : un vrai festival de grimaces, de spasmes, et de têtes qui se balancent comme pour dire, « Je suis épuisé, mais personne ne veut s’en rendre compte. »

Ce qui est jouissif — ou déprimant, selon votre humeur — c’est que dans ce film, personne ne vous entend jouer la comédie. Le seul public, c’est votre propre corps, qui se bat pour respirer, quand vous, vous faites le mort sur le canapé de votre propre vie. Vous êtes un acteur de second rôle, en mode « je ne dis rien, mais je meurs à petit feu ».

La scène grinçante : le chef-d’œuvre du silence qui tue

C’est une scène culte : vous vous réveillez en pleine nuit avec la tête dans la cuvette (je rigole, mais c’est pas loin). Vous avez joué votre propre doublure d’un film d’horreur sans le savoir. Vous avez laissé le script : : « Je vais faire semblant d’être endormi, mais en réalité, je vais arrêter de respirer. » Et ça marche : tout le monde pense que tout va bien… sauf votre cerveau, qui hurle silencieusement « Respire, abruti, sinon c’est fini ».

Les apnées s’enchaînent, comme une série d’épisodes où le réalisateur a oublié de faire une scène de respiration… et personne ne vous dit rien. Pourtant, chaque pause est comme un gros « clac » dans votre poitrine, un gros « crash » dans votre vie, un vrai pied de nez de la médecine, qui vous dit : « Tu veux jouer au héros silencieux ? Voilà ton rôle permanent. »

La satire qui pique : rire jaune ou pleurer dans le noir ?

Ce spectacle, franchement, il a tout pour faire rire… ou faire pleurer. Parce qu’au fond, votre sommeil ressemble à un vieux film muet, où la tension monte sans qu’on ne comprenne vraiment pourquoi. La seule différence ? Dans un bon film, il y a une bande sonore. Là, votre meilleur ami, c’est le silence pesant, qui vous dit tout : « Tu mourras peut-être en silence, champion. »

Et voilà le vrai coup de maître : votre corps, lui, ne fait pas la différence. Pour lui, c’est un chef-d’œuvre de silence, de détresse et d’auto-sabotage. Et vous, vous faites quoi ? Vous faites semblant de dormir, comme si tout ça allait passer.

La fin… ou pas : la réalité, quand le film s’arrête

Mais à quoi sert de jouer ce film muet ? La réponse est simple : à changer de scénario. Parce que sinon, vous risquez de faire partie du casting permanent du gros film d’horreur, version “je ne respire pas et je ne m’en rends pas compte”.

Ce qu’il faut, c’est un bon rembobinage, un vrai diagnostic, un traitement — parce qu’aucune production coûteuse ne vaut la peine de mourir en silence dans son lit, comme un héros oublié de tous… sauf de la médecine.

Votre rôle ? Survivre, respirer, et surtout, rire jaune de cette tragédie qui n’a rien de comique si elle n’est pas traitée sérieusement.

En résumé

L’apnée du sommeil, c’est votre propre film muet… mais en pire. Pas de dialogues, pas de musique, juste une mise en scène grinçante où vous êtes à la fois le héros, le technicien, et le spectateur impuissant de votre propre fin.

 

 

A MEDITER 

Partagez votre expérience , l’humain avant tout , car la médecine est une aventure humaine unique.

Dr  COUHET Eric
CEO #Apnea #Connected #Center.