
La santé mentale en france en 2025
1. #Santé #mentale : enjeu majeur de santé publique
La santé mentale est définie par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) comme « un état de bien-être dans lequel une personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et contribuer à la vie de la communauté ». Ce concept dépasse la simple absence de maladie mentale et englobe le bien-être, l’épanouissement personnel et les capacités d’agir de l’individu. Son usage s’est généralisé depuis les années 1990 en France, devenant un axe majeur de santé publique.
La crise sanitaire liée à la Covid-19 a mis en lumière et accentué les problèmes de santé mentale, la faisant reconnaître comme une priorité de santé publique et un enjeu de société. Le mal-être des citoyens demeure supérieur à son niveau d’avant la crise. Ce rapport vise à dresser un état des lieux de cette situation préoccupante, notamment pour les populations les plus vulnérables, et à présenter les défis et les solutions envisagées.
2. État actuel de la santé mentale en France
La santé mentale des Français connaît une dégradation continue, particulièrement marquée chez les jeunes et les femmes.
Population Générale :
- En 2023, 16 % des Français étaient touchés par un syndrome dépressif, près d’un quart présentaient des signes d’anxiété, et plus de 70 % des problèmes de sommeil, soit une nette augmentation par rapport à 2017.
- La prévalence des pensées suicidaires est en hausse constante, atteignant 10 % de la population en 2023(contre 4,7 % en 2017). Le nombre de passages aux urgences pour idées suicidaires augmente chaque année depuis 2021.
- Les hospitalisations pour geste auto-infligé ont augmenté fin 2020 et en 2021 par rapport à 2019. En 2022, 84 527 patients ont été hospitalisés pour ce motif, dont 64 % de femmes.
Jeunes (Enfants et Adolescents) :
- La santé mentale des jeunes s’aggrave de manière spectaculaire, avec des risques de troubles anxio-dépressifs touchant près de 30 % des 11-24 ans en 2024.
- Le suicide est la première cause de décès chez les 15-29 ans.
- Les hospitalisations de mineurs pour tentatives de suicide, scarifications et crises graves sont en hausse. Les pensées suicidaires chez les lycéens ont fortement progressé entre 2018 et 2022, surtout chez les filles.
- Les troubles peuvent apparaître de plus en plus précocement, parfois dès la maternelle.
- Les mineurs pris en charge par l’aide sociale à l’enfance (ASE) sont particulièrement vulnérables, avec une prévalence de troubles psychiques atteignant un enfant sur deux dans certains centres, et 40% des lits d’hospitalisation à temps plein en pédopsychiatrie occupés par des enfants placés.
Autres Populations Vulnérables :
- Les personnes âgées sont vulnérables, notamment en raison de l’isolement, mais leur souffrance psychique est souvent minimisée.
- Les personnes en situation de défavorisation socio-économique sont 1,2 à 2,2 fois plus nombreuses à être hospitalisées pour geste auto-infligé que les plus favorisées. La prévalence des syndromes dépressifs est trois fois plus élevée chez les personnes en situation financière « difficile ».
- Les personnes se définissant comme homosexuelles ou bisexuelles, ainsi que celles exposées à des discriminations, présentent également un risque accru de syndrome dépressif.
- Les Mineurs Non Accompagnés (MNA) sont exposés à des violences et traumatismes durant leur parcours migratoire, impactant sévèrement leur santé mentale.
3. Facteurs contributifs à la dégradation
La dégradation de la santé mentale est multifactorielle.
- La Crise Sanitaire (COVID-19) : A joué un rôle d’accélérateur et de révélateur des tendances préexistantes.
- Isolement Social : Un phénomène croissant, renforcé par la numérisation des rapports humains, augmentant la vulnérabilité aux troubles mentaux.
- Contexte Anxiogène et Stressant : L’inflation, la précarité et l’insécurité de l’emploi contribuent à un contexte socio-économique anxiogène. Le contexte géopolitique (guerres en Ukraine et Proche-Orient) et environnemental (éco-anxiété) est également une source d’angoisse, particulièrement chez les jeunes.
- Environnement Numérique et Réseaux Sociaux : L’utilisation problématique des réseaux sociaux est en forte augmentation chez les adolescents (passant de 7 % en 2018 à 11 % en 2022), surtout chez les filles. Elle contribue à la dégradation de la santé mentale des jeunes, avec des symptômes similaires à l’addiction, des troubles du sommeil et de l’anxiété. La consommation de contenus pornographiques est également un facteur de risque pour la santé mentale des jeunes.
- Produits Addictifs : Les addictions sont intimement liées aux troubles de santé mentale. La surprescription de benzodiazépines est un « véritable cancer français », et la consommation d’hypnotiques a augmenté de 0,2% à 0,7% entre 2010 et 2023. Les cannabinoïdes de synthèse (« Pète ton crâne ») sont également une préoccupation majeure.
- Violences et Traumatismes : 30 % des patients en pédopsychiatrie sont victimes de maltraitance parentale. Les stress précoces et les traumatismes, notamment chez les enfants placés, augmentent la vulnérabilité.
4. Défis du système de soins en santé mentale
Le système de santé mentale est sous forte tension, avec un écart grandissant entre la demande et l’offre.
Pénurie de Professionnels :
- Psychiatres et Pédopsychiatres : Le nombre de psychiatres salariés hospitaliers a diminué de 40 % en pédopsychiatrie entre 2010 et 2025. Un tiers des postes en psychiatrie publique sont vacants. Des disparités territoriales extrêmes existent, avec certains départements sans aucun pédopsychiatre.
- Infirmiers : La suppression de la spécialité d’infirmier psychiatrique en 1992 a entraîné une difficulté à recruter et fidéliser.
- Psychologues : Le nombre de psychologues dans le secteur public diminue.
- Médecine Scolaire : Seuls 57 % des postes de médecins scolaires sont pourvus, et il n’y a qu’un psychologue de l’Éducation Nationale pour 1 500 élèves, ce qui compromet la détection précoce des troubles.
Structures Saturées :
- Les Centres Médico-Psychologiques (CMP), pivots du système, sont saturés. Les patients doivent attendre jusqu’à 6 à 18 mois pour un premier rendez-vous avec un psychiatre, ce qui les contraint à un tri des cas urgents.
- Les services d’urgences enregistrent une augmentation de 21 % des passages pour motifs psychiatriques entre 2019 et 2023. Ils sont souvent surchargés et mal adaptés aux patients atteints de troubles psychiatriques.
Manque de Coordination et Illisibilité de l’Offre :
- La multiplicité des acteurs et des dispositifs rend l’offre de soins illisible pour les parents et les patients, entraînant des ruptures de parcours.
- La médecine scolaire est isolée des instances locales de coopération comme les CLSM et PTSM. L’accès des médecins scolaires au Dossier Médical Partagé (DMP) est encore très partiel.
Manque d’Attractivité de la Psychiatrie :
- La psychiatrie souffre d’une stigmatisation historique et de représentations négatives.
- Les conditions d’exercice se sont dégradées, notamment en psychiatrie publique, avec des contraintes administratives, la violence des patients, la lourde charge de travail et une perte de sens perçue.
- La profession est souvent le dernier choix aux épreuves classantes nationales (ECN).
Financement :
- Les financements mobilisés sont jugés insuffisants pour répondre à l’explosion de la demande.
- Le système de financement favorise parfois les « projets innovants » au détriment du renforcement de structures existantes et éprouvées comme les CMP.
- Le coût économique et social indirect des maladies psychiatriques est évalué à plus de 107 milliards d’euros par an.
5. Solutions proposées et recommandations
Les rapports (Sénat, Assemblé Nationale et DRESS) proposent une politique ambitieuse de consolidation de l’offre de soins et de politiques préventives.
Renforcement des Structures Existantes :
- Réaffirmer le rôle pivot des CMP en leur allouant davantage de personnel médical et non médical, en priorisant les territoires en tension et les CMP infanto-juvéniles. Assurer un accueil inconditionnel et des délais d’attente acceptables. Le maillage territorial des CMP doit être revu pour garantir un accès en 30 minutes de chaque domicile.
- Soutenir et développer les Maisons des Adolescents (MDA) comme lieux d’accueil moins stigmatisants, en augmentant leurs ressources humaines, leur accessibilité territoriale, et en sécurisant leurs budgets. Il est recommandé de les adosser à un centre de soins.
- Créer des centres spécialisés de gestion de crise avec des lits de courte durée, adossés aux urgences pédiatriques ou aux hôpitaux psychiatriques, pour les épisodes suicidaires et les crises aiguës.
Amélioration de la Formation et de l’Attractivité des Professions :
- Médecins Généralistes : Mieux former les médecins généralistes aux troubles de santé mentale, densifier leurs modules de formation et stages en psychiatrie. Développer la collaboration avec les psychiatres via la téléexpertise et les consultations avancées d’IPA PSM.
- Infirmiers : Renforcer le temps dédié à la psychiatrie et à la santé mentale dans la formation des infirmiers, notamment par des stages obligatoires en psychiatrie. Développer les Infirmiers en Pratique Avancée (IPA) mention Psychiatrie et Santé Mentale (PSM) dans tous les lieux de prise en charge (hôpitaux, CMP, écoles, ASE) en améliorant leur modèle économique et leur statut.
- Psychiatres : Simplifier le dispositif d’autorisation d’exercice des PADHUE (praticiens à diplôme hors Union Européenne), encourager les stages en psychiatrie pour les étudiants en médecine, et créer une chaire de pédopsychiatrie dans tous les CHU.
- Psychologues : Revaloriser la rémunération des psychologues et personnels paramédicaux travaillant en CMP. Réfléchir à un allongement de leur formation et à l’obtention d’un doctorat professionnel, tout en préservant leur inscription dans les sciences humaines et sociales.
- Professionnels de Santé Scolaire : Mieux intégrer les professionnels de santé de l’Éducation Nationale aux Conseils Locaux de Santé Mentale (CLSM) et Projets Territoriaux de Santé Mentale (PTSM). Rendre effectif l’accès des médecins scolaires au Dossier Médical Partagé (DMP). Prévoir une trajectoire de recrutement pour atteindre un médecin scolaire pour 5 000 élèves et un psychologue pour 800 élèves.
Amélioration de la Coordination et des Parcours de Soins :
- Soins Collaboratifs : Développer la coopération entre médecins généralistes, infirmiers et psychiatres (ex: programme SÉSAME).
- Projets Territoriaux de Santé Mentale (PTSM) et Conseils Locaux de Santé Mentale (CLSM) :Promouvoir le déploiement et l’efficacité de ces outils de coopération locale en les rendant moins « théoriques » et mieux articulés entre eux et avec d’autres acteurs (sociaux, médico-sociaux, éducatifs).
- Équipes Mobiles : Flécher des financements pérennes pour développer des équipes mobiles pluridisciplinaires (ex: ACT, SIIS, EMPPA, EMPEA) pour l’intervention à domicile, en particulier pour les personnes âgées, en situation de précarité et les enfants protégés. Ces équipes visent à éviter les hospitalisations et à réduire leur durée.
- Dispositif « MonSoutienPsy » : Bien qu’il ait élargi l’accès aux psychologues, il est nécessaire de garantir la continuité du parcours de soins au-delà des 12 séances remboursées par une coopération renforcée entre psychologues, médecins généralistes et psychiatres. Il est également suggéré d’instituer le tiers payant pour ce dispositif.
- Prise en Charge des Mineurs de l’ASE : Généraliser les conventions entre l’ASE et les secteurs pédopsychiatriques pour le dépistage, la prévention et le traitement des troubles. Développer des maisons d’enfants à caractère social (MECS) sous forme de maisons éducatives thérapeutiques (MET) mêlant soin et hébergement. Maintenir la prise en charge des MNA en recours de minorité.
Politiques Préventives :
- Déstigmatisation et Sensibilisation : Poursuivre les campagnes de sensibilisation du grand public et étendre les formations aux premiers secours en santé mentale (PSSM) à toutes les professions clés (soignants, travailleurs sociaux, forces de l’ordre, enseignants).
- Soutien à la Parentalité et Périnatalité : Développer des équipes dédiées à la périnatalité pédopsychiatrique dans chaque CMP, généraliser les maisons des 1 000 premiers jours et étoffer les unités d’hospitalisation conjointe parents-bébé.
- Environnement Scolaire : Systématiser les protocoles dédiés à la santé mentale dans les écoles, former les personnels à la santé mentale, développer les compétences psychosociales des élèves (cours d’empathie), et rétablir les bilans de santé à 6 et 12 ans avec un volet de dépistage des troubles mentaux.
- Régulation du Numérique : Mener des campagnes massives de prévention sur le danger de l’addiction aux écrans et responsabiliser les parents à une consommation responsable. Agir sur la régulation de l’accès aux contenus nocifs pour les mineurs.
- Volet Addictologie : Renforcer le volet addictologie de la feuille de route psychiatrie et santé mentale.
- Priorité aux Soins Thérapeutiques : Privilégier les soins thérapeutiques à la prescription de psychotropes, en assurant une formation spécifique pour cette dernière.
6. Conclusion et solutions à mettre en oeuvre
Les rapports (Sénat, Assemblé Nationale et DRESS) mettent en évidence une dégradation alarmante de la santé mentale en France, particulièrement chez les jeunes, exacerbée par des facteurs sociaux, économiques et numériques.
La pédopsychiatrie reste sous-dotée, les délais d’attente sont longs et les services saturés. La coordination entre secteurs médical, social et éducatif demeure insuffisante (Haute Autorité de Santé, 2023).
Le système de soins, malgré des efforts de sensibilisation et de nouvelles initiatives, est saturé et souffre d’un manque criant de ressources humaines et d’une coordination parfois défaillante.
La nécessité de passer d’un empilement d’annonces à des actions concrètes et pérennes, avec des financements adéquats et fléchés, est primordiale pour reconstruire un système de santé mentale résilient et accessible à tous. Il faut envisager rapidement les solutions suivantes :
- Renforcement des centres médico-psychologiques (CMP) et création d’unités de crise.
- Déploiement d’équipes mobiles pluridisciplinaires et d’Infirmiers en Pratique Avancée.
- Prévention en milieu scolaire et continuité du dispositif « MonSoutienPsy ».
- Campagnes de sensibilisation à l’usage des écrans et à la santé mentale des jeunes.
En cas d’urgence : en France, contacter le numéro national de prévention du suicide 3114 ou les services d’urgence (112).
Focus sur la santé mentale des jeunes en france en 2025
Références
- Beck, F., Richard, J. B., Spilka, S., & Legleye, S. (2022). Prévalence des troubles anxieux et dépressifs en France : résultats de l’Enquête Santé Européenne (EHIS-2). Bulletin Épidémiologique Hebdomadaire, (3-4), 45-53.
- Godin-Blandeau, L., et al. (2024). Trends in psychiatric emergency visits in France (2016–2023). European Psychiatry, 67(1), e34. https://doi.org/10.1192/j.eurpsy.2024.34
- Haute Autorité de Santé. (2023). Programme national santé mentale et psychiatrie 2025–2030. HAS. https://www.has-sante.fr
- Peretti-Watel, P., & Alleaume, C. (2021). Les effets psychosociaux de la crise sanitaire. Revue Française de Sociologie, 62(4), 653–678.
- Richard, J. B., Beck, F., & Spilka, S. (2023). Idées suicidaires et souffrance psychologique des jeunes adultes en France. Revue d’Épidémiologie et de Santé Publique, 71(5), 329–338.
- Santé publique France. (2023). Surveillance épidémiologique des suicides et tentatives de suicide en France. SPF.
- World Health Organization. (2017). Depression and other common mental disorders: Global health estimates. WHO Press.
Rapports du Sénat
Sol, J., Chasseing, D., & Brulin, C. (2025, juin). Santé mentale et psychiatrie : pas de « grande cause » sans grands moyens (Rapport d’information n° 787 [2024-2025]). Commission des affaires sociales, Sénat. SénatSénat
Jasmin, V., & Sol, J. (2021). Les effets de l’épidémie de Covid-19 sur la santé mentale (Rapport d’information). Commission des affaires sociales, Sénat. SénatSénat
Sénat. (2024, janvier). Ériger la santé mentale des jeunes en grande cause nationale (Texte n° 51 [2023-2024]). Adopté par le Sénat le 17 janvier 2024. Ériger la santé mentale des jeunes en grande cause nationale
Rapports de l’Assemblée Nationale
Rousseau, S., & Dubré-Chirat, N. (2024, décembre). Rapport de la mission d’information sur la prise en charge des urgences psychiatriques. Commission des affaires sociales, Assemblée nationale. Santé mentale : un rapport sur la prise en charge des urgences psychiatriques unanimement salué en commission des affaires sociales | LCP – Assemblée nationale
Assemblée nationale. (2024, avril). Proposition de résolution invitant le Gouvernement à ériger la santé mentale en grande cause nationale pour 2025 (n° 2531). 16e législature. Proposition de résolution, n° 2531 – 16e législature – Assemblée nationale
Commission des affaires sociales. (2019, décembre). Mission d’information sur la santé mentale et l’avenir de la psychiatrie. Assemblée nationale, 14e législature. Mission d’information sur la santé mentale et l’avenir de la psychiatrie – Assemblée nationale
Rapports de la DREES
Hazo, J.-B., Boulch, A., & EpiCov Group. (2025, juin). Santé mentale : un état des lieux au regard de la situation financière, de l’orientation sexuelle et des discriminations subies (Études et Résultats). Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES). Santé mentale : un état des lieux au regard de la situation financière, de l’orientation sexuelle et des discriminations subies | Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques
Hazo, J.-B., Pirard, P., Jollant, F., & Vuagnat, A. (2024, avril). Hospitalisations pour gestes auto-infligés : une progression inédite chez les adolescentes et les jeunes femmes en 2021 et 2022 (Études et résultats, 1300). DREES. Santé mentale : un état des lieux au regard de la situation financière, de l’orientation sexuelle et des discriminations subies | Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques
Hazo, J.-B., & Rouquette, A. (2023). Près d’un enfant sur six a eu besoin de soins pour un motif psychologique entre mars 2020 et juillet 2021 (Études et Résultats, 1271). DREES. Santé mentale : un état des lieux au regard de la situation financière, de l’orientation sexuelle et des discriminations subies | Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques
Observatoire national du suicide. (2025, février). Suicide : mal-être croissant des jeunes femmes et fin de vie – Penser les conduites suicidaires aux prismes de l’âge et du genre – 6ème rapport. DREES. Santé mentale : un état des lieux au regard de la situation financière, de l’orientation sexuelle et des discriminations subies | Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques
DREES. (2025, mai). Rapport d’activité 2024. Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques. Rapport d’activité 2024 – Drees
Rapports gouvernementaux
Délégation ministérielle à la santé mentale et à la psychiatrie (DMSMP) & Direction de la Sécurité sociale (DSS). (2025, mars). Rapport d’évaluation du Gouvernement au Parlement de Mon soutien psy. Santé mentale : un état des lieux au regard de la situation financière, de l’orientation sexuelle et des discriminations subies | Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques
Bousquet-Bérard, C., & Pascal, A. (2024, avril). Enfants et écrans. À la recherche du temps perdu. Présidence de la République, rapport officiel. Santé mentale : un état des lieux au regard de la situation financière, de l’orientation sexuelle et des discriminations subies | Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques