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L’#Apnée du #Sommeil au temps des #Rolling #Stones : l’#Excès devient une #Symphonie #Silencieuse

Il fut un temps où les Rolling Stones incarnaient tout ce qu’on peut imaginer de plus déchaîné : la musique comme une explosion, le chaos comme un art, et la défonce comme une règle incontournable. Entre une bouteille de Jack, une ligne de coke et des nuits à faire trembler les murs, Mick et sa bande vivaient à 200 km/h, sans limite, sans frein. Mais derrière la scène, derrière les projecteurs et les accords riffs frénétiques, se cache une autre réalité — celle d’une vie de démesure qui peut aussi faire planer un danger insidieux : l’apnée du sommeil.

Imaginez un instant Mick, à danser, à chanter « Start Me Up », alors qu’au fond, sa respiration pourrait lui jouer un dernier riff dissonant. Un moment de frénésie où, au lieu de scander « Hey, you, get off of my cloud », il pourrait fierce en silence… la fin de la scène, le silence de la respiration arrêtée. La scène, la scène de la vie, où chaque instant est un overdose d’adrénaline, peut se transformer en un cauchemar sans battements : une nuit d’insomnie, un combat contre un ennemi invisible, un silence assourdissant.

Les Stones ont vécu comme un feu d’artifice : des « Sympathy for the Devil » à « Gimme Shelter », ils ont embrasé la scène et leur vie privée. La drogue, l’alcool, le sexe — tout était déchaîné, tout était excessif. Mais cette fête sauvage, cette tournée permanente, pouvait aussi faire mal. Car, dans cette allégorie du chaos, il y a une vérité cachée : l’apnée du sommeil, cette maladie silencieuse, peut transformer cette vie vibrante en une fin tragiquement douce, comme un dernier solo de guitare qui s’éteint dans un souffle léger.

Et c’est là où l’ironie devient caustique. Car quand on voit Keith Richards, icône de la démesure, toujours debout, toujours là, on se demande — combien de ses nuits de folie ont laissé en héritage une respiration interrompue ? Combien de ces excès ont laissé une marque durable, un cauchemar rpté dans l’ombre de la célébrité ? La vérité, c’est que l’apnée n’épargne personne, pas même ceux qui vivent comme si chaque souffle était une victoire. La nuit, cette scène où tout peut basculer, peut révéler une face plus sombre : celle où la vie pourrait s’éteindre dans un dernier silence, comme un riff final qui ne reprend jamais.

On pourrait dire que tout cet écosystème d’excès est un parfait « Tumbling Dice » : une roulette russe où chaque clin d’œil à la mort peut devenir une réalité. La débauche, la fête, tout ceci pourrait résonner dans l’écho d’une respiration arrêtée, comme un « Sympathy for the Devil » qui tourne mal. La vie, après tout, ne se limite pas à une overdose de substances ou de sensations. Elle peut aussi finir dans un souffle coupé, un « Paint It Black » qui se teinte de noir, bien plus profond : celui de la suffocation, du silence éternel.

 

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Et la vraie face tragique de cette histoire, c’est que l’apnée du sommeil ne se contente pas de frapper la rockstar en tournée. Elle attaque tout un chacun, cachée derrière la façade de la vie moderne. Ce n’est pas seulement un problème de star ou de légende, c’est un signal d’alarme brutal : le stress, l’ivresse, la vie à 100 km/h, tout cela peut jouer avec le feu. Et quand la respiration se coupe, c’est toute une symphonie de vie qui s’arrête. Une « Miss You » finale, mais sans reprise. Une chanson qui se ferme sans rappel.

Mais à la fin, la musique doit continuer. Et la fin lyrique de cette lamentation, c’est que chaque souffle, chaque vie, mérite une autre possibilité — une scène où l’on apprend à respirer encore, même quand tout semble perdu. Parce que la vie, comme une grande chanson, nécessite un refrain : l’espoir, la lutte contre l’oubli, la volonté de rester en accord avec soi-même.

Et si la dernière note devait sonner, ce ne serait pas un silence assourdissant, mais une rhapsodie d’éternité :
Dans chaque souffle retrouvé, se cache un air nouveau, un rappel que le plus grand concert que nous puissions jouer, c’est celui de notre propre respiration.

 

Partagez votre expérience , l’humain avant tout , car la médecine est une aventure humaine unique.

Dr  COUHET Eric
CEO #Apnea #Connected #Center.