
La #Cigale et la #Fourmi version #Apnée : La #Nuit des #Morses
La Cigale et la Fourmi version Apnée : La Nuit des Morses
La Cigale, ayant chanté tout l’été,
Se trouva fort dépourvue,
Quand l’hiver, avec ses nuits scabreuses,
Vint, bruyant et silencieux,
Et que sa respiration se fit plus rare que ses succès.
Elle chantait, doux rêveur, sous la lune,
Sans penser une seconde qu’une nuit,
Son souffle pourrait manquer soudain,
Et la laisser — dans le noir complet — comme un vieux disque rayé.
Mais la voilà qui se met à ronfler.
Et pas qu’un peu : un véritable tsunami de nasal,
Un vacarme digne d’un orchestre de404.
En pleine nuit, tout le quartier s’endort… ou pas.
La Fourmi, elle, toute prudente,
Pendant l’été, travaille, amasse, et surtout, se protège.
Elle se dit : « Bravo, la cigale, tu as chanté tout l’été,
Mais regarde-toi donc : ça finit toujours par un gros, gros manque d’air. »
Et d’ailleurs, justement, quand la cigale commence à dormir,
C’est la catastrophe : elle se réveille en galère,
le nez qui coule, la gorge qui pique, et surtout, plus de souffle.
Une vraie crise, façon cœur en apnée, version comédie noire.
Là, la cigale, flapi, se dit : « Ah bah voilà,
L’apnée, c’est pas qu’un truc de vieux, c’est aussi pour ceux qui chantent trop fort,
Et qui pensent que leur souffle est une simple option.
Mais maintenant, je suis bloquée, je vais finir comme une sardine sans air. »
Et la Fourmi, qui aime bien la morsure de la vérité,
Lui crache: « Tu t’es grillée comme un barbecue en pleine forêt.
Tu veux passer l’hiver à dormir comme une marmotte ?
Mais ton corps, il t’a dit non, et il te le rappelle à chaque ronflement. »
Alors la cigale, toute paniquée, tente de respirer,
Mais le masque à oxygène, c’est pas pour les oiseaux de compétition.
Elle se dit alors : « Peut-être que j’aurais dû faire comme la Fourmi,
Stoker des réserves et pas des chansons qui déchirent. »
Morale :
Si tu veux chanter toute la nuit,
Fais gaffe à ce que ton souffle ne te fasse pas faux bond.
Car à force de jouer avec les notes,
Il suffit d’une pause pour finir en apnée… ou en naufrage.
Et ça, mes amis, c’est la vraie vie :
Une fête sans respiration, c’est comme une chanson sans refrain,
Ça peut finir très mal, et surtout très bruyant.
Partagez votre expérience , l’humain avant tout , car la médecine est une aventure humaine unique.
