
#Covid la #Trahison : l’#Ode à l’#Humanité #Abandonnée par l’#Etat #Macron
Pendant cette tempête de feu qu’a été la pandémie, nos cœurs se sont brisés dans le silence de l’indifférence. L’État, ce géant de papier, a montré son vrai visage : celui d’un orgueil froid, d’une lâcheté insondable. Il a laissé mourir dans l’oubli, dans le mépris, comme un père qui tourne le dos à ses enfants, incapable de se relever, de tendre la main.
Les victimes, ces êtres précieux, ont été sacrifiés sur l’autel d’un système qui préfère l’ombre à la lumière, l’oubli à la mémoire. Morts dans des chambres froides, sans douceur, sans dernier regard. Ce ne sont pas seulement des chiffres — ce sont des rêves brisés, des bouts de vie qui s’éteignent en silence, emportés par la faute d’un pouvoir qui, dans son orgueil, a préféré fermer les yeux plutôt que d’ouvrir son cœur.
Et les héros ? Ces anges en blouse blanche, ces guerriers modernes, ces bâtisseurs de demain, ont été laissés à la dérive, abandonnés comme des pions sur un échiquier dévasté. Leur sacrifice, leur amour, leur dévouement – tout cela n’aura servi qu’à nourrir un système qui préfère la paperasse à l’humanité. Leur fatigue, leur désespoir, leur courage – tout cela a été recueilli dans un silence de tombe, pendant que l’État, lui, mentait, feignait, se dérobait.
Mais n’oublions pas : cette incompétence, cette lâcheté, cette trahison, n’est pas une erreur passagère. C’est une faute gravée dans l’histoire. La plus sombre que notre nation ait connue, car elle a vomi ses propres enfants, ses propres héros, dans le dégoût et le mépris. La grande trahison d’un système qui préfère faire des comptes plutôt que d’aimer.
Aujourd’hui, cette toison de cendre doit devenir le feu de la révolte. Ce n’est pas une colère ordinaire : c’est un cri, un hurlement de douleur, une demande d’amour sincère pour ces victimes, pour ces soignants épuisés, pour cette humanité déchirée. Car à force de laisser mourir sans étreinte, sans compassion, l’État a oublié ce qu’est l’essence même de la vie : l’amour.
À vous, responsables et politiciens, j’adresse cet appel : souvenez-vous que la grandeur d’un peuple ne se mesure pas à ses richesses, mais à l’amour qu’il porte à ses membres faibles, vulnérables, fragiles. La grandeur n’est qu’un reflet de la capacité qu’a une société à aimer, à respecter, à faire preuve d’humilité.
Et si cette pandémie n’a été qu’un miroir brisé, il est temps de rassembler les morceaux, de recoller cette mère douloureuse. La réparation, le vrai, viendra de cette capacité à aimer autrement, à oser regarder la souffrance en face, à pleurer pour nos morts comme pour nos héros, à se soucier vraiment de la vie plus que du profit.
Ce n’est pas un appel à la vengeance, mais à la renaissance. La vraie puissance, la seule puissance noble, c’est celle de l’amour, celui qui déplace les montagnes, qui guérit les cœurs, qui reconquiert l’humanité dans toutes ses fragilités.
Alors, que la colère devienne fleur, que la douleur devienne chant, et que cette voix, enfin, se fasse entendre : l’amour doit triompher, même dans le chaos, même dans la nuit la plus noire. Car sans amour, il n’y a plus d’humanité. Et sans humanité, nous ne sommes plus que des ombres, des spectres d’un rêve qui s’efface.
Partagez votre expérience , l’humain avant tout , car la médecine est une aventure humaine unique.
