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#Divorce à la sauce #Ibérique : le #Ronflement devient une vraie arme de #Destruction #Massive #Conjugale

 

L’Espagne, terre de passions exacerbées, de siestes torrides et de nuits… bruyantes. Car en 2024, le pays s’est découvert une nouvelle spécialité : le divorce express, boosté par un ennemi insoupçonné. Oubliez la crise économique, la belle-mère envahissante ou les infidélités à gogo, le véritable fossoyeur des couples espagnols, c’est lui, c’est elle, c’est… le ronflement !

Oui, vous avez bien lu. Le ronflement, ce bruit de fond familier que l’on associe volontiers à un bon vivant bienheureux, est en réalité un véritable fléau conjugal. En 2024, le nombre de divorces à grimpé en flèche, atteignant un pic de 83 000 séparations, et selon des études (sérieuses !) près de 40 % de ces ruptures seraient directement liées aux symphonies nocturnes de Monsieur ou Madame. Autant dire que le ronflement est en train de devenir une épidémie nationale.

 

 

Imaginez la scène : vous, épuisé(e), les traits tirés, les nerfs à vif, contraint(e) d’endurer chaque nuit les râles d’un(e) conjoint(e) transformé(e) en tronçonneuse humaine. Vous essayez tout : les bouchons d’oreille, les incantations vaudoises, les supplications à la Vierge Marie… rien n’y fait. Le ronflement persiste, implacable, dévastateur. Et vous, petit à petit, vous sombrez dans la folie.

Certains, au bord de la rupture, en viennent même au « divorce par le sommeil ». Une solution radicale, certes, mais parfois nécessaire pour préserver sa santé mentale et son équilibre psychologique. On se croirait dans un film d’Almodóvar, mais c’est la réalité : des couples qui se séparent de corps pour mieux se supporter le jour, des époux qui fuient le lit conjugal pour se réfugier dans des hôtels miteux ou sur des banquettes inconfortables, des amants qui préfèrent le silence de la solitude aux décibels de la cohabitation. Triste, non ?

Le plus cynique, c’est que le ronfleur, lui, est souvent le dernier à prendre conscience de la situation. Persuadé qu’il ne fait que quelques petits bruits sans importance, il continue de scier du bois en toute impunité, ignorant les ravages qu’il cause à son entourage. C’est alors que le conjoint, à bout de nerfs, sort l’artillerie lourde : enregistrements audio accablants, vidéos compromettantes, témoignages glaçants… La guerre est déclarée, et les avocats se frottent les mains comme des vautours au-dessus d’une charogne.

 

 

 

Bien sûr, il existe des solutions, plus ou moins efficaces. On peut tenter les appareils d’avancement mandibulaire, ces gadgets dignes d’un film de science-fiction. On peut se lancer dans un régime draconien, en espérant que quelques kilos en moins feront taire les ronflements. On peut même envisager la chirurgie, en se disant que le jeu en vaut la chandelle. Mais soyons honnêtes : rien ne garantit une guérison miraculeuse.

Alors, que faire ? Peut-être devrait-il enfin briser le tabou du ronflement, le considérer comme une véritable menace pour la santé publique (et conjugale). Au lieu de rire bêtement en entendant les ronflements de votre conjoint, imaginez les nuits blanches, la fatigue chronique, les accès de rage incontrôlables… et demandez-vous si votre couple peut survivre à une telle épreuve. Au lieu d’offrir des fleurs et des poèmes, offrez une polygraphie respiratoire. Et surtout, parlez-en. Exprimez votre exaspération, votre frustration, votre désir de dormir enfin comme un être humain normal. Car le silence, dans ce cas précis, est synonyme de mort (conjugale). En Espagne, le ronflement est en train de devenir une question d’État. Il est temps d’agir, avant que votre couple ne sombre dans les abîmes du divorce. À bon ronfleur, salut !

 

A MEDITER 

Partagez votre expérience , l’humain avant tout , car la médecine est une aventure humaine unique.

Dr  COUHET Eric
CEO #Apnea #Connected #Center.