#Médecine 3.0 : la #Technique au service de l’#Empathie
Grâce à la généralisation des capteurs connectés, votre praticien pourra vous surveiller à distance et vous proposer une téléconsultation avant même les premiers symptômes.
Quel parent n’appréhende pas de devoir patienter deux heures dans la salle d’attente d’un médecin avec son bambin pleurnichant parce qu’il a mal à l’oreille ?
Bonne nouvelle c’est bientôt fini.
Dans moins de dix ans, un petit otoscope connecté vous permettra de capturer de chez vous une vidéo du fond de l’oreille de votre enfant, puis de l’envoyer à votre médecin pour un diagnostic à distance.
Dans la foulée, le praticien vous expédiera une ordonnance sur une application sécurisée de votre smartphone, et le tour sera joué.
Bienvenue dans la médecine 3.0 ! « Dans le parcours de santé de demain, tout le monde sera relié : le généraliste, le spécialiste, l’hôpital, le patient, le pharmacien et l’infirmière », prévoit Eric Couhet, généraliste à cholet.
Président et fondateur de #ConnectedDoctors, un lieu de réflexion sur cette pratique émergente, ce visionnaire suit déjà 300 de ses patients grâce aux données biologiques collectées par des appareils connectés, du tensiomètre au glucomètre en passant par l’oxymètre.
Il s’est mis en immersion 3.0 dans son #ConnectedMedicalCenter à Cholet depuis quatre mois, véritable embryon d’un cabinet médical connecté et faire enfin converger les acteurs essentiels du #Déploiement de la #Médecine 3.0.
. Des mutuelles : la MACSF , Harmonie mutuelle
. Diverses #Startup , dont #Aviitam , #MonDocteur , #DirectoDoc , #Medappcare , #EveDrug , #Medissimo ….
. Des industriels avec #Visiomed , #iHealth et #Samsung.
« La vague numérique va bouleverser les pratiques médicales, poursuit notre blouse blanche.
Mieux informer, le patient deviendra enfin le véritable acteur de sa santé, et l’on va voir se développer une médecine à distance plus efficace et moins coûteuse. »
Au passage, cette dernière permettra d’effacer les déserts médicaux, qui ne cessent de s’étendre avec la baisse de 20 % du nombre des généralistes d’ici dix ans.
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