#Humour 3.0 : ces médecins exclus de la révolution numérique
Les patients ne sont pas les seuls à risquer l’exclusion. Les médecins réfractaires, cramponnés à leurs dossiers « papiers » et leurs fax, maudissant la technologie depuis l’arrivée du Minitel, passeront à côté de la révolution numérique mais aussi de leur patientèle…
L’utilisation d’appareils électroniques reste soumise à des risques d’incompréhension ou de bugs qui semblent augmenter avec l’âge… Néanmoins, les geeks d’aujourd’hui seront les seniors de demain et des acteurs majeurs de la e-santé.LE PRÉCAIRE
La fracture numérique pourrait avoir des origines plus socioéconomiques que générationnelles… Problème de coût oui, mais pas que : formations, relations aux nouvelles technologies. Auquel cas, le remboursement de la santé connectée ne suffirait pas.LE HANDICAPÉ
Difficile d’investir le numérique en cas de troubles cognitifs et de certains handicaps physiques. En tout cas, tant que la technologie ne parvient pas à y palier.
LE BIEN-PORTANT
Mais comme « tout homme bien portant est un malade qui s’ignore » (Dr Knock), le bien-portant chanceux pourrait succomber à l’appel des chiffres des calories dépensées ou de la distance parcourue…
LE DIGITAL DETOX
Il est hyperconnecté jusqu’à atteindre le burn-out numérique. En conséquence ont été créés des centres de digital detox où il réapprend l’importance des relations humaines, l’amour et l’amitié. Chassez la réalité, elle revient en augmenter…
LE TECHNOPHOBE
Il a été mis en images par le YouTubeur Cyprien. Dans la réalité, c’est l’exemple de Marine Richard chez qui un handicap grave dû à une hypersensibilité aux ondes électromagnétiques a été reconnue. Elle vivrait recluse dans les montagnes.
LE SURVIVALISTE
Il se prépare à LA grande catastrophe qui touchera notre monde. À son honneur, il aura pour mission de repeupler la Terre le jour venu.