#Téléconsultation : #Startup et #Médecins à l’assaut du #DésertMédical
#Téléconsultation : comment se structure le marché français avant le #Déploiement massif ?.
Alors que les négociations sur son remboursement par l’assurance maladie font émerger un accès médical digital pour tous dès le 15 Septembre , la #Télémédecine est en plein développement en France.
Soutenus en grande partie par les mutuelles via des prises de participation ou des partenariats, les acteurs de la téléconsultation se multiplient sur le territoire.
Même si peu atteignent la rentabilité, ils déploient des stratégies différentes pour capter des parts de marché. mind Health a interrogé l’ensemble des acteurs du marché et l’ARS Île-de-France
Depuis deux ans, une petite dizaine d’acteurs ont obtenu un agrément pour exercer la téléconsultation en France.
#Medaviz, #Mesdocteurs, #Hellocare #Qare, #Feelae, #Medicitus, Zava… proposent au grand public d’échanger en ligne par écrit, téléphone ou vidéo, avec un professionnel de santé, qui peut à la fin de la consultation délivrer une prescription.
Cet agrément s’obtient auprès d’une Agence régionale de santé (ARS), sous un certain nombre de conditions en termes de sécurité de l’hébergement des données de santé, d’égalité de traitement des patients, de sécurisation des parcours de soins…
L’aspect de protection des données de santé est également contrôlé par la CNIL.
De plus, le Conseil de l’ordre national des médecins valide les contrats qui lient la société aux médecins.
Ceux-ci doivent notamment consacrer au moins 50 % de leur temps à des activités hors télémédecine et se conformer à un code déontologique validé par le Cnom.
Ils se rendent disponibles pendant des plages horaires, souvent de leur choix mais annoncées à l’avance, et les sociétés les rémunèrent au temps passé sur le service.