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#Apnée du #Sommeil et #Alcool : c’est l’#Apocalypse #Now

Ah, l’association apnée du sommeil et alcool, c’est vraiment le duo comique… sauf que le seul public qui apprécie ça, c’est votre médecin, et encore, quand il voit les résultats du polygraphe, il ne peut s’empêcher de rire jaune ! Parce qu’en vrai, boire de l’alcool pour dormir, c’est comme essayer de fabriquer un avion en utilisant du chewing-gum et des trombones : ça paraît une bonne idée au début, mais en réalité, c’est la recette pour un désastre assuré.

Imaginez un peu : vous vous dites « je vais boire un petit verre pour me détendre », et en réalité, c’est comme si vous donniez le feu vert à votre gorge pour faire grève. La musculature de la gorge relâche totalement ses efforts, comme si elle voulait faire la sieste toute la nuit, et là, mauvaise surprise : vos voies respiratoires préfèrent fermer boutique, laissant passer à peine un souffle, ou alors un ronflement digne d’un T-Rex en colère. Voilà le début d’un véritable spectacle de monstres nocturnes, où vous devenez la star, mais pas pour les bonnes raisons : les pauses respiratoires s’enchaînent comme un mauvais film d’horreur, vous vous réveillez en sursaut, haletant comme si vous aviez couru un marathon dans vos rêves… sauf que la réalité, c’est que vous n’avez rien fait, sauf boire.

Et si vous insistez à boire encore plus, pour « mieux dormir » (ce qui est déjà une idée aussi brillante qu’un verre d’eau dans un désert), vous devenez le héros de la soirée… de la soirée de votre propre suffocation, forcément ! Parce que plus vous buvez, plus votre gorge décide de faire grève, et en plus elle en profite pour faire une surprise aux muscles de votre cage thoracique : « Hop, on lâche tout, on coupe la respiration, et on se remonte le moral en faisant un bon ronflement à réveiller tout le voisinage. » Les résultats ? un réveil en pleine crise de panique, tout essoufflé, avec la sensation d’avoir fait la course la nuit dernière, alors que vous êtes juste en train de roupiller sur votre canapé… ou dans votre lit.

Et le plus caustique, c’est que beaucoup croient encore qu’un petit verre d’alcool peut aider à dormir. Mais en réalité, c’est comme donner du carburant à une voiture qui a déjà du mal à démarrer : ça va faire exploser le moteur, mais pas dans le bon sens. Au lieu d’avoir un sommeil réparateur, vous finissez par jouer à la roulette russe avec votre propre respiration, où chaque tour vous rapproche du badge « catastrophes nocturnes ». Résultat : nuits blanches, souffle coupé, et des réveils à la chaîne comme si vous aviez été victime d’un épisode de combat de sumo… version sleep edition.

Et si vous cherchez encore des excuses pour continuer dans cette voie, sachez que boire de l’alcool pour « cocher la case détente » revient à utiliser une bombe pour allumer un feu de camp : ça peut peut-être marchouiller un bref instant, mais ça va vous exploser à la figure à la première seconde critique. Donc, si vous tenez à votre souffle, à vos nuits paisibles et à éviter de finir comme un zombie à chaque réveil, il vaut mieux laisser tomber l’alcool, surtout celui qui ressemble à un produit chimique industriel. Sinon, préparez-vous à faire du sleepwalking… mais pas comme vous l’entendez, plutôt comme un aspirateur géant qui aspire tout sauf votre respiration, jusqu’à ce que la nuit devienne une longue série d’images de cauchemar, ou une catastrophe respiratoire à faire pâlir les plus grands films d’épouvante.

En résumé : l’alcool n’est pas votre allié pour dormir, sauf si vous souhaitez faire de chaque nuit un épisode digne des plus grands films d’horreur où vous finissez pendu à votre respirateur, à ronfler comme un dinosaure en colère. Alors, gardez l’alcool pour les soirées et évitez cette association qui transforme votre sommeil en un véritable scénario catastrophe… version « Apocalypse Now » du sommeil !

 

A MEDITER 

Partagez votre expérience , l’humain avant tout , car la médecine est une aventure humaine unique.

Dr  COUHET Eric
CEO #Apnea #Connected #Center.