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#Anticipation 3.0 : un « #ConnectedDoctor » en 2025

A quoi donc pourrait ressembler la pratique d’un « #ConnectedDoctor » en 2025 ?.

Les médecins n’attendrons jamais l’#IntelligenceArtificielle pour enfin devenir des experts artificiellement intelligents.

Au lieu de recevoir des patients déjà malades, ce praticien assurera une médecine préventive individualisée.

Chaque matin, d’un coup d’œil sur son écran, il pourra se faire une idée précise de l’état de santé de ses patients.

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le  #Logiciel expert scannera en continue les données expédiées sur son serveur sécurisé, avant de proposer alertes et aide au diagnostic. Sur son tableau de bord, les noms des malades dont les constantes (fréquence cardiaque, tension, glycémie, etc.) ne seront plus dans les clous clignoteront, tous les autres seront dans le vert.

De quoi ne plus perdre son temps avec les malades imaginaires, comme c’est parfois le cas aujourd’hui.

En cas de problème grave, une alerte retentira sur son ordinateur ou sur son smartphone et il pourra convoquer immédiatement à une téléconsultation vidéo son patient qui, souvent, n’aura même pas commencé à ressentir les symptômes de son affection.

Installé chez lui, devant son écran, éventuellement assisté d’une infirmière capable d’aider le médecin à affiner son diagnostic, le patient n’aura plus besoin d’attendre en moyenne six jours, comme aujourd’hui, pour être pris en charge.

Bien sûr, les nouveaux objets connectés ne pourront pas tout faire.

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Mais d’ici dix ans, ils seront capables d’effectuer un grand nombre de mesures biologiques. Et les capteurs seront regroupés dans un seul instrument doté d’un écran, comme une montre. Le médecin disposera d’un historique détaillé des données de son client, de quoi lui proposer un traitement véritablement individualisé.

« L’idée n’est pas de déshumaniser la médecine , la technique  enfin au service de l’empathie, plaide le docteur #COUHET.

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En délégant aux outils les tâches fastidieuses, on disposera de plus de temps pour mener un vrai dialogue avec le patient. »

Les avantages de cette révolution pourraient-être nombreux : suivi à long terme plus facile, prise en charge très en amont, meilleurs résultats thérapeutiques, mais aussi diminution des coûts de transport et, bien sûr, de l’attente.

« On assistera également à une baisse des coûts d’hospitalisation et à une réduction du nombre de journées de prise en charge des patients atteints d’une maladie chronique (diabète, insuffisance cardiaque, etc.) », estime le docteur Souclier, à la tête de la société H2AD, spécialisée dans la télémédecine.

Car, explique-t-il, ces malades pourront être suivis à distance en continu par leur spécialiste et/ou par des médecins mobilisés 24 heures sur 24 au sein de plateformes spécialisées, un dispositif que teste déjà sa société dans le cadre d’essais pilotés par la Sécurité sociale